Tout gentil ayant vécu avec eux pendant quelques mois finit par devenir antisémite, même inconsciemment. C'est un fait : les juifs sont des accélérateurs de dégénérescence. Nul ne sait pourquoi ils sont aussi mauvais. Est-ce leur religion ? Leur génétique ? La circoncision au 8e jour ? Mystère. Mais tout porte à croire que c'est une engeance absolument démoniaque.
Pour autant, faut-il les blâmer pour l'état de notre monde actuel ? Je ne pense pas. En Europe, le ver était déjà dans le fruit quand leur domination à commencé : le matérialisme et l'individualisme faisaient leur chemin dans les esprits alors même que les juifs étaient encore interdits de séjour en France sous l'ancien régime. Le divorce et l'avortement étaient déjà pratiqués avant les lois Naquet et Weil. Les sciences positives, alimentées par les naturalistes blancs et chrétiens, travaillaient à faire disparaître l'essence divine de l'homme pour faire place à l'homme machine, esclave de stimuli et processus biologiques chaotiques, né du hasard et mourant vers le néant, sans autre but ici-bas que jouir et posséder, alors que les juifs étaient encore cantonnés dans leurs ghettos.
Alors oui, aujourd'hui ils ont des acteurs de premier plan dans la destruction de notre civilisation, mais par notre apathie et notre embourgeoisement nous sommes les premiers responsables de leur main-mise et leur impunité sous nos latitudes. Un climat révolutionnaire ne peut apparaître que lorsque les estomacs sont vides et les couilles pleines, nous en sommes encore loin, et c'est pour ça que le Français de base se complaît encore dans cette eau marécageuse et frémissante : il sait que la température monte, mais il aurait encore trop à perdre s'il sautait hors du feu.
Enfin, si les juifs venaient à disparaître, la nature ayant horreur du vide, un autre agent de putréfaction prendrait leur place.
Donc non, le problème n'est pas l'agent corrupteur, mais notre corruptibilité en premier lieu : nous devons extirper cette mauvaise graine dans notre race coûte que coûte, au risque de finir dans l'oubli pour l'éternité.